photo Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Dijon 21000

Le 27/03/2025

Bien connue, l’admiration réciproque que se vouaient Brahms et Dvorák se voit ici célébrée par des interprètes exceptionnels, à la croisée des générations. Au menu de cette première des deux soirées à ne pas manquer: l’un des plus illustres Concertos du répertoire et l’une des pages les plus profondes du maître tchèque. Composé vingt-deux ans après le premier, le Concerto pour piano n°2 de Brahms (1881) connut dès sa création – par le compositeur au clavier – un immense succès. Son climat légendaire s’exprime dès le noble appel de cors du premier mouvement, qui déplie sa beauté épique. Féroce et orageux, le Scherzo précède un Andante beaucoup plus contemplatif, dans lequel le violoncelle, quasi-soliste, rivalise avec le piano. Puis vient le Finale enjoué, aux couleurs hongroises, dont l’énergie couronne un monument du répertoire pianistique. En regard, la Symphonie n°7 de Dvorák (1885) est certainement sa partition la plus « allemande», dans laquelle s’entend l’influence de Brahms et de Wagner. Malgré son début grave et austère, l’Allegro initial libère vite sa fougue, enchaînant sur un Adagio gorgé de piété et de lyrisme. Bien que d’énigmatiques reflets wagnériens le colorent[...]

photo Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #1

Musique, Competition sportive

Dijon 21000

Le 27/03/2025

Bien connue, l’admiration réciproque que se vouaient Brahms et Dvorák se voit ici célébrée par des interprètes exceptionnels, à la croisée des générations. Au menu de cette première des deux soirées à ne pas manquer: l’un des plus illustres Concertos du répertoire et l’une des pages les plus profondes du maître tchèque. Composé vingt-deux ans après le premier, le Concerto pour piano n°2 de Brahms (1881) connut dès sa création – par le compositeur au clavier – un immense succès. Son climat légendaire s’exprime dès le noble appel de cors du premier mouvement, qui déplie sa beauté épique. Féroce et orageux, le Scherzo précède un Andante beaucoup plus contemplatif, dans lequel le violoncelle, quasi-soliste, rivalise avec le piano. Puis vient le Finale enjoué, aux couleurs hongroises, dont l’énergie couronne un monument du répertoire pianistique. En regard, la Symphonie n°7 de Dvorák (1885) est certainement sa partition la plus « allemande», dans laquelle s’entend l’influence de Brahms et de Wagner. Malgré son début grave et austère, l’Allegro initial libère vite sa fougue, enchaînant sur un Adagio gorgé de piété et de lyrisme. Bien que d’énigmatiques reflets wagnériens le colorent[...]

photo Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #2

Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #2

Dijon 21000

Le 28/03/2025

Qui peut résister au début puissant et tellurique du premier Concerto de Brahms? Pour ce second volet de leur superbe diptyque, Sir John Eliot Gardiner et Alexandre Kantorow font fusionner le piano et l’orchestre, avant que ne retentisse, gorgée d’âme slave, l’une des plus attachantes symphonies de Dvorák. Œuvre d’un jeune homme de vingt-et-un ans encore sous l’influence de Robert et Clara Schumann, le Concerto n°1 de Brahms connut des débuts chaotiques: conçu d’abord comme une symphonie, il fut incompris lors de sa création en 1859, puis franchement sifflé à Leipzig! On peine à le croire tant la splendeur de la partition fait aujourd’hui consensus, avec son premier mouvement au début véhément (qui fit tout de même l’admiration de Bruckner!), son Adagio en forme de cantique intériorisé, et son Finale enjoué, aux accents populaires et dansants. Caractéristique de sa période «slave», la Symphonie n°6 de Dvorák (1880) s’ouvre avec un Allegro d’une grande sérénité, véritable démonstration d’écriture orchestrale. L’Adagio qui suit, au climat nocturne, magnifie les timbres instrumentaux tout en ménageant des incises dramatiques. À la place du traditionnel Scherzo, Dvorák insère[...]

photo Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #2

Orchestre Philharmonique de Radio France, Concert #2

Musique, Danse - Bal - Cabaret, Competition sportive

Dijon 21000

Le 28/03/2025

Qui peut résister au début puissant et tellurique du premier Concerto de Brahms? Pour ce second volet de leur superbe diptyque, Sir John Eliot Gardiner et Alexandre Kantorow font fusionner le piano et l’orchestre, avant que ne retentisse, gorgée d’âme slave, l’une des plus attachantes symphonies de Dvorák. Œuvre d’un jeune homme de vingt-et-un ans encore sous l’influence de Robert et Clara Schumann, le Concerto n°1 de Brahms connut des débuts chaotiques: conçu d’abord comme une symphonie, il fut incompris lors de sa création en 1859, puis franchement sifflé à Leipzig! On peine à le croire tant la splendeur de la partition fait aujourd’hui consensus, avec son premier mouvement au début véhément (qui fit tout de même l’admiration de Bruckner!), son Adagio en forme de cantique intériorisé, et son Finale enjoué, aux accents populaires et dansants. Caractéristique de sa période «slave», la Symphonie n°6 de Dvorák (1880) s’ouvre avec un Allegro d’une grande sérénité, véritable démonstration d’écriture orchestrale. L’Adagio qui suit, au climat nocturne, magnifie les timbres instrumentaux tout en ménageant des incises dramatiques. À la place du traditionnel Scherzo, Dvorák insère[...]

photo Technicien / Technicienne de diagnostics immobiliers

Technicien / Technicienne de diagnostics immobiliers

Emploi Ingénierie - Bureau d'Etudes

Dijon, 21, Côte-d'Or, Bourgogne-Franche-Comté

Diagnostiqueur immobilier - Formation BAC + 2 en alternance - En 1 an ou 2 ans -- H/F RESUME DE L'OFFRE DE FORMATION ID SCHOOL : - Ton profil : appétence pour le domaine du bâtiment et de l'immobilier - autonome - dynamique - rigoureux - Deux parcours de formation : la formation est réalisable en 1 an ou 2 ans sous réserve de remplir les prérequis ci-dessous. - Prérequis formation en 1 an : niveau BAC/BAC PRO minimum + 2 ans d'expérience professionnelle + connaissances des techniques du bâti et posture professionnelle (quiz et/ou entretien de positionnement) - Prérequis formation en 2 ans : niveau BAC/BAC PRO minimum ou 3 ans d'expérience professionnelle - permis B (souhaité) - L'admission en formation : Trois étapes pour valider ton inscription (Admission CFA / Admission entreprise / Inscription finale) LE METIER DE DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER UN METIER D'AVENIR Le diagnostiqueur immobilier a pour objectif principal de vérifier la conformité d'un bien immobilier dans le cadre de transactions immobilières ou de travaux de rénovation. En rejoignant la formation ID School et ton entreprise tu seras amené à réaliser différents types de diagnostics techniques (amiante,[...]

photo Orchestre des Champs-Elysées

Orchestre des Champs-Elysées

Musique, Competition sportive

Dijon 21000

Le 20/05/2025

Après s’être confronté la saison passée à la profondeur du Requiem de Mozart, l’Orchestre des Champs-Élysées est de retour pour une magistrale démonstration beethovénienne confiée à la baguette experte de Philippe Herreweghe. Créée en 1807, la Symphonie n°4 est une œuvre pleine de charme, dont Schumann a déclaré qu’elle était, entre l’Héroïque et la célèbre Cinquième, « comme une mince fille de la Grèce entre deux géants nordiques»! Malgré son introduction lente et inquiétante, le premier mouvement déborde de grâce, précédent un Adagio dont la mélodie, d’une inexprimable tendresse, subjugua Berlioz. Viennent ensuite un Scherzo énergique, tout en contrastes de nuances, suivi d’un Finale bouillonnant, en forme de mouvement perpétuel. Six années à peine plus tard, Beethoven connaissait avec sa Symphonie n°7 l’un des plus grands triomphes publics de sa carrière. Après un mouvement initial d’abord majestueux puis rythmiquement explosif, vient l’illustre Allegretto, admirable et obsédante marche qui s’orne peu à peu d’admirables contrechants. Enjoué, le Scherzo libère l’esprit de la danse bien qu’il cite une mélodie liturgique; quant au Finale, il est l’exemple même de la déflagration[...]

photo Orchestre des Champs-Elysées

Orchestre des Champs-Elysées

Dijon 21000

Le 20/05/2025

Après s’être confronté la saison passée à la profondeur du Requiem de Mozart, l’Orchestre des Champs-Élysées est de retour pour une magistrale démonstration beethovénienne confiée à la baguette experte de Philippe Herreweghe. Créée en 1807, la Symphonie n°4 est une œuvre pleine de charme, dont Schumann a déclaré qu’elle était, entre l’Héroïque et la célèbre Cinquième, « comme une mince fille de la Grèce entre deux géants nordiques»! Malgré son introduction lente et inquiétante, le premier mouvement déborde de grâce, précédent un Adagio dont la mélodie, d’une inexprimable tendresse, subjugua Berlioz. Viennent ensuite un Scherzo énergique, tout en contrastes de nuances, suivi d’un Finale bouillonnant, en forme de mouvement perpétuel. Six années à peine plus tard, Beethoven connaissait avec sa Symphonie n°7 l’un des plus grands triomphes publics de sa carrière. Après un mouvement initial d’abord majestueux puis rythmiquement explosif, vient l’illustre Allegretto, admirable et obsédante marche qui s’orne peu à peu d’admirables contrechants. Enjoué, le Scherzo libère l’esprit de la danse bien qu’il cite une mélodie liturgique; quant au Finale, il est l’exemple même de la déflagration[...]

photo Renaud Capuçon & Guillaume Bellom | Fauré, Saint-Saëns, Ravel

Renaud Capuçon & Guillaume Bellom | Fauré, Saint-Saëns, Ravel

Dijon 21000

Le 18/12/2021

Quel lecteur de Proust ne se souvient, dans l’immense édifice d’À la Recherche du temps perdu, du rôle poétique éminent joué par la Sonate pour violon et piano de Vinteuil, avec sa magnétique « petite phrase » ? Les trois partitions proposées dans ce programme livrent la quintessence du genre dans la sphère française : équilibre parfait des quatre mouvements de la Sonate de Fauré (1875), pleine de charme mélodique ; intensité fiévreuse de la partition de Saint-Saëns (1885), qui aurait directement inspiré Proust; modernité ombrée de Jazz de l’œuvre de Ravel (1927), au Finale redoutablement virtuose.

photo Conférence de fin d'exposition

Conférence de fin d'exposition "Quand flamboyait la Toison d'Or"

Exposition, Conférence - Débat, Patrimoine - Culture

Beaune 21200

Le 31/03/2022

Historien belge conquis par les ducs de Bourgogne, Bart van Loo vient clôturer l'exposition "Quand flamboyait la Toison d'Or" par une conférence haute en couleurs, suivie d'une dédicace. Le 31 mars sonne la fin de l'exposition consacrée aux ducs de Bourgogne et donne rendez-vous au public avec Bart van Loo, le temps d'une conférence où l'historien belge, particulièrement attaché à la Bourgogne, fera revivre avec fougue et passion un pan de l'histoire de notre région. La conférence, suivie d'une dédicace, est annoncée dans un lieu prestigieux et chargé d'histoire : la salle des Pôvres du musée de l'Hôtel Dieu. Conteur hors pair, Bart van Loo est un auteur médiatisé et connu pour son ouvrage "Les Téméraires - Quand la Bourgogne défiait l'Europe". Le public est attendu nombreux le 31 mars de 18h30 à 20h30. L'entrée est libre dans la limite des places disponibles, sur inscription. Ainsi s'annonce le finissage d'une exposition d'envergure internationale qui se déploie depuis le mois de décembre dans 3 lieux emblématiques de la ville de Beaune : le musée de l'Hôtel-Dieu, la Porte Marie de Bourgogne et l'Hôtel des Ducs - Musée du Vin de Bourgogne. Jusqu'à cette date finale du[...]